日本 – Le Japon – 20 octobre
J'y suis depuis quelques heures après un week-end merveilleux. Dorlotée par mon Oncle François, en compagnie de mon amie Dom (stages Judo) nous avons assisté à un tournoi de Paris dont nous n'avons retenu que les bons moments, les beaux mouvements et quelques bonnes rigolades, ce qui ne surprendra aucunement tout ceux qui ont la chance de fréquenter Dom.
先週末Paris にいました。私の叔父はParisに住んでいます。
柔道の友達むいました。Domさんです。
Domさんと柔道を見ました。おもしろいでした。
Elle m'a très gentiment accompagnée à l'aéroport en prenant en charge une de mes valises chargée de reblochons et de Kinder bueno pour Sylvie, de bottes, vin rouge saucissons et tomme de Savoie pour Isabelle, plus quelques cadeaux destinés à mes relations nippones. Elle a eu du mérite (Dom je suis certaine que tu as gagné un point). Il faisait 7°C à l'aéroport Charles de Gaulle. Nous avons pris le petit déjeuner ensemble, puis je me suis envolée. Le vol via Francfort n'était pas très agréable avec des Allemand sans-gêne et des Français bruyants malheureusement, je n'étais pas près des quelques japonais qui ont fait le voyage avec nous. Comme j'étais à côté du hublot, j'ai pu admirer le lever du soleil sur le pays du soleil levant bien recouvert par de très jolis nuages (enfin, vus de dessus).
Domさんも空港に行きました。旅行鞄の中出はフランスチズと赤いワインがありました。
これで朝御飯を食べました。Paris に7°C でしたあ。東京に25°Cです。
日本はあついと曇りです。
J'ai passé la douane avec un très gentil japonais qui m'a demandé si j'étais vraiment ingénieur. Il devait trouver que 7 semaines de vacances, ça fait vraiment beaucoup....
J'ai activé mon premier JR pass, la dame m'a très gentiment réservé un billet pour le train de 10h45, j'ai pris celui de 9h45, le contrôleur a manifestement eu la flemme de m'expliquer il a juste fait un très joli sourire. Je profite du trajet pour préparer mon programme de demain... En quittant le train, j'ai mis 10000 ¥ dans ma carte Suica et j'ai pris le métro comme si j'avais quitté Tokyo hier. En revanche, arrivée à destination... j'ai emprunté la mauvaise sortie, suis partie dans le mauvais sens... bref tout faux. Avec un moral inébranlable, j'ai tourné jusqu'à retrouver mon chemin, en prenant au passage ma première photo de plaque d'égout de ce voyage.
Sylvie m'avait annoncé qu'elle me laissait la clé dans la boîte aux lettre : vide !
Je sonne : personne ne répond à part le chien du voisin qui aboie. J'essaie d'ouvrir : la porte n'est pas fermée, j'entre, pose mes affaires et cherche les indices qui me permettent de vérifier que je suis bien chez Sylvie : des habits de fille, ça élimine la moitié de la population, des bouquins en français, un judogi je suis manifestement sur la bonne piste, une calligraphie signée de son nom : c'est parfait je suis bien à destination.
Je me déshabille, ici il fait 25°C, je suis trempée. Je quitte avec soulagement mon collant et fonce sous la douche. Puis je sors me trouver à déjeuner au premier combini venu. Je rentre et mange puis ressort en laissant un message sur la porte à Isabelle au cas où elle vienne me rejoindre. Je me promène dans le quartier, croise quelques lapins et ne résiste pas à visiter mon premier petit temple (en voyant la photo, on ne peut qu'avoit une pensée pour Yves ;-))
Un petit passage par un magasin à 100 ¥,
on y trouve des trucs introuvables dans le reste du monde, vous aviez déjà vu des éponges spéciales pour bondes de lavabos et des tricots pour tenir les biberons au chaud ?
Je rentre dîner et commence à rédiger ce texte et traiter mes photos lorsque Sylvie arrive ! J'avais compris qu'elle n'était pas là de la semaine... Ça fait vraiment plaisir de la voir. Nous discutons un bon moment, elle me prête son téléphone pour appeler en France dire que je suis bien arrivée mais, dès que j'ai la tête posée sur l'oreiller, je m'endors instantanément : ça faisait juste 35 heures que je n'avais pas dormi.